Etrangement, très naturel
Racontres nous ton souvenir de ce chemin d'évolution depuis 2008...Que s'est-il passé ?..
Il y a beaucoup plus de membres au COPIL, qui ne se déroulent plus qu'une fois tous les six mois. Comme ces plénières sont beaucoup plus rares, tout le monde y participe. Malgré le grand nombre de participants, la réunion est beaucoup plus efficace et rapide. Seules des décisions sont prise. La réunion se déroule de manière très organisée et agréable, avec un moment de météo et de centrage et des rôles de secrétaire et facilitateur.
Entre ces réunions, se rencontrent plus fréquemment des cercles avec des raisons d'être, redevabilités et périmètres d'autorité distincts. Ex. La Charte, le Macaron, L'inclusion, etc. que nous appelons Groupes de travail. Le vocabulaire est resté très "traditionnel" pour ne pas brusquer les membres. Les groupes de travail prennent les décisions et sont souverains.
Cela a commencé quand il y a eu de plus en plus de membres et que les COPIL s'allongeaient. Des groupes de travail ont été mis en place. Étrangement, cela s'est fait très naturellement, parce que c'était nécessaire et que les membres du collectif ne sont pas trop attachés affectivement au projet, comme ce n'est pas le cœur de leur fonction dans leur propre organisation, ceux qui les paient, ce n'est qu'un bonus.
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- un réseau / collectif
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